Réponsedu ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales : L'article L. 121-1 du code des assurances dispose que « l'indemnité due par

En assurance de responsabilité civile automobile, la prime de référence visée à l'article 2 de l'annexe à l'article A. 121-1 peut donner lieu, pour les assurés ayant un permis de moins de trois ans et pour les assurés ayant un permis de trois ans et plus mais qui ne peuvent justifier d'une assurance effective au cours des trois dernières années précédant la souscription du contrat, à l'application d'une surprime. Cette surprime ne peut dépasser 100 % de la prime de référence. Ce plafond est réduit à 50 % pour les conducteurs novices ayant obtenu leur permis de conduire dans les conditions visées à l'article R. 123-3 du code de la route. Elle est réduite de la moitié de son taux initial après chaque année consécutive ou non, sans sinistre engageant la responsabilité. En cas de changement d'assureur, le nouvel assureur peut appliquer à l'assuré la même surprime que celle qu'aurait pu demander l'assureur antérieur en vertu des alinéas précédents. La justification des années d'assurance est apportée, notamment, par le relevé d'informations prévu à l'article 12 de l'annexe à l'article A. 121-1 ou tout autre document équivalent, par exemple, si l'assurance est souscrite hors de France.

ArticleL.211-4, L.211-7, L.211-12, L.211-13 du Code de la Consommation et Article 1641 et 1648 du Code Civil. Les garanties commencent à courir à compter de la livraison des biens commandés. En cas de défaut signalé par le client, et authentifié, TONER SERVICES s'engage à remplacer à ses frais le produit défectueux.
Sur la base de l’article L121-12 du Code des assurances, l’assureur privé de son recours subrogatoire du fait de son assuré est susceptible de lui opposer la déchéance de son droit à indemnisation. Sur ce point, la Cour de cassation a apporté des précisions quant aux conditions de l’exception de subrogation, propices à une réflexion sur la place que tient ce mécanisme dans le fonctionnement de l’assurance de dommages. A l’occasion d’un litige portant sur l’exécution d’un contrat commercial, la Cour de cassation est venue préciser le critère autorisant l’assureur à invoquer l’article L121-12 alinéa 2 du Code des assurances pour opposer à son assuré la déchéance de son droit à indemnité [1]. En l’espèce, un installateur d’équipements industriels est sollicité par une société de fonderie pour la livraison et l’installation d’un outillage spécifique destiné à sa production. Pour ce faire, l’entrepreneur s’est adressé à son fournisseur pour les lui commander. En raison d’une défaillance dans son fonctionnement entraînant une explosion, la société cliente a assigné l’entrepreneur cocontractant ainsi que son assureur de responsabilité civile pour demander réparation. Cependant, l’assureur de ce dernier a dénié sa garantie pour le compte de son assuré qui, initialement titulaire d’une action récursoire contre le fournisseur, aurait fait échec à sa subrogation en stipulant dans le contrat litigieux une clause limitative de responsabilité. Admis en appel, ce motif de refus a pourtant été rejeté par la Cour de cassation, au visa de l’article L121-12 du Code des assurances, en affirmant l’impossibilité pour l’assureur de responsabilité civile de l’installateur d’invoquer l’exception de subrogation sur ce fondement sans apporter la preuve d’une faute commise par ce dernier. Par conséquent, pour que l’assureur puisse se prévaloir d’une déchéance de garantie du fait qu’il ait été privé de son recours subrogatoire, celui-ci doit établir la preuve d’une faute de la part de l’assuré. La faute de l’assuré comme condition de déchéance de son droit à indemnité. Par cet arrêt, la Cour de cassation précise les termes employés par le législateur définissant les conditions permettant à l’assureur d’invoquer l’exception de subrogation en assurance de dommages. En ce sens, elle subordonne son efficacité à l’existence d’une faute de l’assuré ayant pour effet de priver l’assureur du bénéfice de la subrogation. Le choix de ce critère est cohérent avec le mécanisme global établi par l’article L121-12 du Code des assurances, dans la mesure où la sanction instituée par cette disposition s’analyse en une déchéance du droit de l’assuré à son indemnité. Or, par définition, celle-ci suppose l’existence d’un comportement fautif de la part du titulaire du droit, ce qui justifie qu’il lui en soit privé à titre de sanction. Par ailleurs, cette précision s’inscrit dans la continuité des solutions rendues en matière de subrogation par la Cour de cassation. En effet, elle a elle-même relevé l’existence d’un devoir de diligence à la charge de l’assuré victime de dommages, lui imposant une vigilance minimale dans tout comportement qui pourrait avoir une influence sur la préservation du recours subrogatoire de l’assureur. Dès lors, tout manquement à ce devoir par l’assuré autorise l’assureur à se prévaloir de l’exception de subrogation. C’est en ces termes que la Haute juridiction a admis la déchéance du droit à indemnité d’un maitre d’ouvrage en raison du retard dans la déclaration de son sinistre, légèreté blâmable de l’assuré ayant eu pour effet de rendre forclose l’action subrogatoire de l’assureur de dommages-ouvrage contre l’entrepreneur [2]. Ainsi, la Cour de cassation laissait d’ores et déjà entendre que l’exception de subrogation supposait l’existence d’une faute de l’assuré, en s’appuyant notamment sur l’existence d’un manquement au devoir de diligence que sanctionne l’article L121-12 du Code des assurances. Cette analyse plaide alors en faveur d’une conception subjective du fait de l’assuré donnant lieu à déchéance de son droit à indemnité. En ce sens, le seul constat d’un fait de l’assuré ayant entraîné la perte du recours subrogatoire de l’assureur ne suffit pas à le sanctionner par la déchéance de sa garantie. L’assureur doit également apporter la preuve de son caractère fautif. De fait, l’exigence d’une appréciation subjective du fait personnel de l’assuré présente un véritable enjeu de qualification, puisque celle-ci a pour conséquence de restreindre la portée du texte précité. L’exception de subrogation à l’épreuve de la liberté contractuelle de l’assuré. Certes, la subrogation spéciale de l’article L121-12 du Code des assurances constitue une faculté légitimement consentie à l’assureur, lui permettant la mise en œuvre des droits que détenait son assuré préalablement indemnisé contre l’éventuel tiers responsable des dommages. C’est d’ailleurs avec faveur que le législateur et le juge envisagent les moyens à sa disposition pour les exercer valablement [3]. Cependant, cette prérogative cède nécessairement priorité aux intérêts légitimes de l’assuré, qui a fait le choix d’une assurance de dommages comme solution d’indemnisation fonctionnant sur la base du paiement d’une prime, et non selon une configuration d’avance sur recours. En ce sens, le mécanisme de subrogation ne doit pas devenir un obstacle à la liberté contractuelle de l’assuré qui, pour conserver de bonnes relations avec son cocontractant, peut vouloir inclure dans les contrats qu’il forme des clauses limitatives voire exclusives de responsabilité civile ; et ainsi, préférer en cas de préjudice, la souscription d’une assurance de dommages plutôt que l’hostilité d’une action en réparation à son encontre. Il revient par conséquent à l’assureur de prendre toute disposition utile au stade de la souscription du contrat ou de son renouvellement le cas échéant pour évaluer le risque dans tous ses aspects, de manière à adapter au mieux son engagement à l’activité assurée. Ainsi, il a tout intérêt à tenir compte des éventuels usages de l’assuré en matière contractuelle afin que la prime technique calculée n’omette pas l’éventualité pour lui de devoir subir la charge finale du risque sans possibilité de recours. Alors, la faculté de subrogation ne devrait prévaloir sur la liberté de l’assuré d’organiser son activité et la conduite de ses relations contractuelles comme il l’entend, dès lors que ces paramètres peuvent être appréhendés ab initio, de sorte que l’assureur soit en mesure d’en tenir compte pour définir l’étendue de son engagement. Toutefois, ces considérations ne peuvent être raisonnablement admises que si l’assureur a été mis en mesure de connaître l’existence de tels usages contractuels au stade de la souscription, sans quoi celui-ci ne peut disposer de sa faculté de subrogation en pleine connaissance de cause. Ainsi, le doute est permis quant à la recevabilité de l’exception de subrogation lorsque du fait de l’assuré, l’assureur n’a pas eu la possibilité d’envisager au préalable l’éventualité pour lui de devoir supporter la charge finale du risque assuré. En l’occurrence, sont visées les solutions antérieurement rendues en matière d’assurance des risques locatifs, notamment dans les hypothèses où le bail comporte une clause de renonciation réciproque à recours entre le bailleur et le preneur. En effet, celle-ci était susceptible de justifier l’exception de subrogation par l’assureur, mais uniquement dans la mesure où elle n’avait pas été portée à sa connaissance au stade de la souscription, de sorte qu’il n’ait pu anticiper dans le calcul de sa prime technique l’éventualité de devoir supporter la charge finale du risque du fait de l’absence de recours [4]. Ainsi, à la lumière de ce récent apport jurisprudentiel, il sera opportun de déterminer à l’avenir si au stade de la souscription du contrat, l’omission par l’assuré de l’existence de telles clauses dans les contrats qu’il forme est susceptible de constituer une négligence fautive, de sorte que l’assureur puisse lui opposer la déchéance de sa garantie. La subrogation, une variable d’équilibre de l’assurance de dommages. Le critère de la faute de l’assuré conditionnant la déchéance de son droit à l’indemnité sur le fondement de l’article L121-12 du Code des assurances est alors propice à une réflexion sur la place que doit tenir le mécanisme de subrogation dans le cadre de l’assurance de dommages. A cet égard, il convient d’analyser ce mécanisme comme un outil d’équilibre utile dans la définition et l’évaluation du risque pris par l’assureur au stade de la souscription. Cet équilibre s’opère avant tout en faveur de l’assuré, en ce que la préservation d’un recours subrogatoire ne doit pas devenir une forme de condition suspensive de l’obligation de règlement de l’assureur, au point qu’il doive réadapter les modalités d’exercice de son activité. Cependant, il ne doit pas être perçu comme marginalisant les intérêts de l’assureur, puisque cet apport jurisprudentiel lui réserve l’exception de subrogation lorsque l’entrave faite à son recours tient à une faute commise par l’assuré. En de telles circonstances, il ne peut être reproché à l’assureur de ne pas avoir anticipé la privation de son recours lorsque celle-ci est la conséquence de la légèreté blâmable de son assuré. Dès lors, il est parfaitement audible qu’un tel comportement troublant les prévisions de l’assureur puisse être sanctionné par la déchéance de son droit. En somme, la précision apportée par la Cour de cassation fait de la subrogation une variable d’équilibre des intérêts dans le cadre de l’assurance de dommages. Elle préserve la liberté de l’assuré d’organiser librement ses relations avec ses cocontractants, tout en réservant l’existence d’une faute qu’il commet et ayant pour effet de troubler les prévisions légitimes de l’assureur dans la disposition de sa faculté de subrogation. Brahim Lafoui Étudiant à l’Institut des Assurances de Paris-Dauphine Recommandez-vous cet article ? Donnez une note de 1 à 5 à cet article L’avez-vous apprécié ? Notes de l'article [1] Cass., Civ. 2e, 17 décembre 2020, n° [2] Cass., Civ. 3e, 8 février 2018, n° [3] En ce sens, Cass., Com., 21 octobre 2020, n° arrêt qui permet à l’assureur d’exercer les droits de son assuré préalablement indemnisé sur la base d’une cession de créance. [4] Cass., Civ. 2e, 10 septembre 2015, n°

Exceptions Lorsque l'accomplissement d'un acte est imposé par la loi pour récupérer un impayé, les frais de recouvrement qui le concernent peuvent être réclamés au client (article L. 111-8 du Code de procédure civile). le commandement de payer une prime d'assurance : l'assureur peut demander le paiement des primes impayées mais aussi

L’article L. 121-10 du code des assurances ne distingue pas selon que le transfert de propriété porte sur un bien mobilier ou immobilier, corporel ou incorporel ni selon le mode d’aliénation de la chose assurée et s’applique en cas de cession d’un fonds de commerce ordonnée lors d’une procédure de redressement judiciaire. en lire plus

Lecommerce en ligne ou e-commerce est un bon moyen de développer votre activité grâce à votre site internet. Il vous permet de mettre en avant votre commerce physique, de toucher une cible plus large et de vendre vos produits ou services de jour comme de nuit. Le commerce en ligne est soumis à une réglementation stricte que vous devez impérativement respecter.

Résilier > Assurances > Assurances Auto > Modèles de lettre de résiliation assurance Auto Modèles de lettre de résiliation assurance Auto Voici des modèles gratuits de lettre de résiliation pour résilier votre assurance auto/moto. Vous pouvez les imprimer et les envoyer en courrier recommandé avec accusé de réception ou utiliser le service de résiliation en ligne. Nous vous conseillons de consulter notre guide sur la résiliation d'une assurances auto pour plus de précisions. Vente ou don du véhicule Résiliation à l'échéance annuelle du contrat Avis d'échéance non reçu ou reçu hors délai Loi Chatel Vol, perte ou destruction du véhicule Droit de renonciation Résiliation après 12 mois Loi Hamon Augmentation de la prime d'assurance non justifiée Décès du souscripteur Changement de situation déménagement, mariage, divorce, retraite, changement de profession, cessation d'activité professionnelle, etc... ayant une incidence sur le risque assuré Demande de relevé d'information Ces modèles pourront être personnalisés avec un éditeur de texte word, open office.., pour être ensuite imprimés pour un envoi par courrier, copiés/collés pour un envoi par email, exportés au format pdf.. Résiliation pour vente ou don du véhicule Il faudra joindre à votre courrier un certificat de cession, que vous pouvez obtenir en ligne. Le don souvent appelé donation du véhicule est considéré comme une cession à titre gratuit, et nécessite les mêmes formalités. [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation contrat assurance Auto Lettre Recommandée avec Accusé de Réception [Lieu, Date] Objet Résiliation contrat assurance Auto pour vente ou donation Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Par la présente je vous informe de la vente de mon véhicule dont vous trouverez ci-dessous les caractéristiques principales Marque Modèle numéro d'immatriculation Veuillez trouver ci-joint le certificat de cession de mon véhicule. Conformément à l'article L121-11 du code des assurances je souhaite que mon contrat d'assurance automobile soit résilié, en respectant le préavis légal de 10 jours suite à l'envoi de ce courrier. Je vous remercie de m'envoyer un avenant de résiliation, et de me rembourser la cotisation déjà versée pour la période comprise entre la date de la vente et la date d'échéance du contrat. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Résiliation à l'échéance annuelle du contrat [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation contrat assurance Auto à l'échéance Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Conformément à l'article L113-12 du code des assurances je vous informe par ce courrier de ma volonté de résilier mon contrat d'assurance à son échéance soit le ..../..../.... Je vous remercie de m'envoyer un document attestant la prise en compte de cette demande. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Avis d'échéance non reçu ou reçu hors délai Loi Chatel Deux cas de figure se présent - vous avez reçu la notification de votre assureur hors délai et avant la date d'échéance du contrat - la date d'échéance est passée et vous n'avez toujours rien reçu. En cas de litige c'est à l'assureur de prouver qu'il vous a bien informé par exemple par l'envoi d'un avis d'échéance. Pour plus de précisions, consultez notre guide sur l'assurance auto et la loi Chatel. Date d'échéance dépassée et avis d'échéance non reçu [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation contrat assurance pour avis d'échéance reçu après la date d'échéance ou non reçu Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Je vous informe par ce courrier de ma volonté de résilier mon contrat d'assurance car il a été reconduit sans notification de votre part. Conformément à l'article L113-15-1 du code des assurances je demande donc que mon contrat soit résilié le lendemain de la réception de cette lettre, l'accusé de réception faisant foi. Merci également de m'adresser le remboursement éventuel des cotisations trop perçues. Je vous remercie de m'envoyer un document attestant la prise en compte de cette demande. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Avis d'échéance reçu hors délai En pratique les assureur n'envoient pas leurs avis d'échéance par courrier recommandé. En cas de litige, ils pourront donc simplement produire éventuellement un document indiquant qu'ils ont bien envoyé la notification photocopie enveloppe avec cachet de la Poste ou date envoi email. Si vous recevez l'avis d'échéance trop tard, et que vous constatez que le cachet de la Poste indique que la lettre a été envoyée trop tard, vous disposez d'un élément tangible pour faire valoir votre demande de résiliation, que vous pourrez joindre à votre lettre. [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation contrat assurance pour avis d'échéance reçu hors délai mais avant la date d'échéance du contrat Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Vous n'avez pas respecté le délai fixé par la loi pour m'avertir de ma possibilité de résilier mon contrat à son échéance, j'ai en effet reçu votre notification le ..../..../.... Conformément à l'article L113-15-1 du code des assurances je demande donc que mon contrat soit résilié à son échéance, profitant du délai supplémentaire de 20 jours accordé par la loi. [Si vous avez reçu un avis d'échance par voie postale] Je vous joins une photocopie ou un scan de l'enveloppe contenant l'avis d'échéance, avec le cachet de la Poste. [Si vous avez été notifié par email] Je vous joins une copie d'écran de l'email que j'ai reçu de votre part avec la date d'envoi. Je vous remercie de m'envoyer un document attestant la prise en compte de cette demande. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Vol ou destruction du véhicule En cas de vol de votre voiture, camionnette, moto ou autre véhicule, vous pourrez résilier votre contrat d'assurance à condition que cet évènement ne soit pas garanti dans le contrat. Vous devrez joindre une attestation de dépôt de plainte à votre lettre. Si vous faites détruire votre véhicule auprès d'une casse agréée VHU centre véhicule hors d'usage vous devrez joindre à votre lettre un certificat de cession pour destruction, qui vous sera remis par la casse. Vol du véhicule [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation contrat assurance Auto pour vol Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Par la présente je vous informe du vol de mon véhicule dont vous trouverez ci-dessous les caractéristiques principales Marque Modèle numéro d'immatriculation Veuillez trouver ci-joint l'attestation de dépôt de plainte. Conformément à l'Article L121-9 du Code des Assurances je souhaite que mon contrat d'assurance automobile soit résilié. Je vous remercie de m'envoyer un avenant de résiliation, et de me rembourser la cotisation déjà versée pour la période comprise entre la date de la vente et la date d'échéance du contrat. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Destruction du véhicule [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation contrat assurance Auto pour destruction Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Par la présente je vous informe de la destruction de mon véhicule dont vous trouverez ci-dessous les caractéristiques principales Marque Modèle numéro d'immatriculation Veuillez trouver ci-joint le certificat de destruction fourni par le VHU. Conformément à l'Article L121-9 du Code des Assurances je souhaite que mon contrat d'assurance automobile soit résilié. Je vous remercie de m'envoyer un avenant de résiliation, et de me rembourser la cotisation déjà versée pour la période comprise entre la date de la vente et la date d'échéance du contrat. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Droit de renonciation Attention la renonciation suite à une souscription par internet ou téléphone n'est pas prévue par le code des assurances plus de précisions ici, même si des assureurs l'acceptent. Par contre, vous pouvez exercer votre droit de rétractation suite à un démarchage à domicile, dans les 14 jours suivant la souscription. Consultez notre guide pour plus de précisions. Modèle de lettre de renonciation suite à un démarchage [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Renonciation suite à un démarchage Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Conformément à l'article L112-9 du code des assurances je vous informe de ma volonté d'annuler mon contrat d'assurance souscrit suite à un démarchage le ..../..../.... Je certifie n’avoir eu connaissance d’aucun incident ni sinistre couvert par ledit contrat et qui pourrait mettre en jeu sa garantie. Je vous remercie de m'envoyer un document attestant la prise en compte de ma demande, et de me rembourser la cotisation éventuellement déjà versée. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Modèle de lettre de renonciation suite à une souscription à distance [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Renonciation suite à une souscription par internet, téléphone ou fax Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Je vous informe de ma volonté d'annuler mon contrat d'assurance souscrit par internet, fax, ou téléphone le ..../..../.... Je certifie n’avoir eu connaissance d’aucun incident ni sinistre couvert par ledit contrat et qui pourrait mettre en jeu sa garantie. Je vous remercie de m'envoyer un document attestant la prise en compte de ma demande, et de me rembourser la cotisation éventuellement déjà versée. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Loi Hamon La Loi Hamon vous permet dans le cas général assurance auto obligatoire de changer d'assureur à tout moment une fois la période d'engagement de 12 mois terminée. C'est donc le nouvel assureur qui se chargera de la résiliation de votre ancien contrat, vous n'avez pas besoin d'envoyer de lettre de résiliation. Par contre, vous pouvez résilier avec la loi Hamon les assurance auto non obligatoires, appelées parfois sur-complémentaires, qui ajoutent des garanties à votre assurance auto. Exemple Eurodatacar, Identicar. Résiliation loi Hamon assurance auto non obligatoire [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation contrat assurance Auto Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Mon contrat d'assurance auto non obligatoire a été souscrit auprès de votre établissement il y a plus de 12 mois. Conformément à l'article L113-15-2 du Code des assurances loi Hamon, je souhaite donc que mon contrat soit résilié 1 mois après la réception de cette lettre recommandée, l'accusé de réception faisant foi. Je vous remercie de m'envoyer un avenant de résiliation, et de me rembourser la cotisation éventuellement déjà versée pour la période comprise entre la date effective de résiliation du contrat et sa date d'échéance. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Augmentation de la prime d'assurance non justifiée Attention une augmentation de prime d'assurance suite à la modification de votre bonus malus n'est pas un motif de résiliation légitime. Consultez notre guide pour plus de précisions. [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation pour augmentation de la prime d'assurance non justifiée Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Je constate que la prime d'assurance de mon contrat a été modifée de façon injustifiée. Conformément à l'article L121-110 du Code de la consommation je vous informe donc de ma volonté de résilier ce contrat. Je vous remercie de m'envoyer un avenant de résiliation, et de me rembourser la cotisation éventuellement déjà versée pour la période comprise entre la date effective de résiliation du contrat et sa date d'échéance. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Décès de l'assuré En cas de décès du titulaire du contrat, le contrat d'assurance est automatiquement transféré aux héritiers conjoint survivant, enfants... Vous devez prévenir l'assureur dans un délai de 3 mois suivant le décès. La résiliation sera effective 10 jours après la réception de votre lettre Article L121-10 du code des assurances. Justificatifs à joindre - Certificat de dècès - attestation d'héritier ou acte de notoriété succession supérieure à 5000 euros pour prouver votre qualité d'héritier Notez que vous ne pouvez pas laisser un véhicule sans assurance, si vous décidez de résilier le contrat vous devez donc choisir d'abord un nouvel assureur. Résiliation pour décès de l'assuré [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation contrat assurance Auto pour décès de l'assuré Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Je vous informe du décès de ............................................ le ..../..../..... Veuillez trouver ci-joint le certificat de décès et l'attestation ou l'acte de notoriété prouvant ma qualité d'héritier. Conformément à l'article L121-10 du Code des Assurances, en tant qu'héritier du véhicule, je souhaite que le contrat d'assurance automobile soit résilié. Je vous remercie de m'envoyer un avenant de résiliation, et de me rembourser la cotisation déjà versée pour la période comprise entre la date de décès et la date d'échéance. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Changement de situation déménagement, mariage, divorce, retraite, changement de profession, cessation d'activité professionnelle, etc... ayant une incidence sur le risque assuré Un changement de situation pourra être un motif de résiliation valable à condition qu'il ait une incidence sur le risque assuré. En pratique, nous vous conseillons de contacter votre assureur au préalable pour l'informer de l'évènement et vérifier avec lui qu'il modifie bien le risque assuré. Si c'est le cas, votre assureur pourra vous proposer une modification augmentation ou diminution de la cotisation par exemple que vous avez le droit de refuser. Voici les justificatifs à fournir selon votre situation - mariage copie intégrale ou extrait de l'acte de mariage - divorce copie du jugement de divorce - déménagement justificatif du nouveau domicile - retraite profesionnelle attestation de paiement retraite à demander à votre caisse - changement de profession attestation nouvel employeur, extrait k-bis société si vous êtes gérant, Certificat d'Inscription au Répertoires des Établissements et des Entreprises si vous êtes microentrepreneur. [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Résiliation contrat assurance Auto pour changement de situation Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Par la présente je vous informe de mon changement de situation personnelle ou professionnelle survenu le ../../.... [entourez le motif concerné ci-dessous] - déménagement - mariage - divorce - retraite professionnelle - changement de profession - autre ......................... Veuillez trouver ci-joint le justificatif de ce changement de situation. Je considère que cet évènement a une indidence directe sur les risques couverts par le contrat d'assurance auto. Conformément à l'article L113-16 du code des assurances je souhaite donc que mon contrat d'assurance automobile soit résilié 1 mois après la réception de cette lettre. Je vous remercie de m'envoyer un avenant de résiliation, et de me rembourser la cotisation déjà versée pour la période comprise entre la date de résiliation et la date d'échéance. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Demande de relevé d'information La demande du relevé d'information peut être utile pour estimer le coût de votre nouvel assurance, notamment en communiquant à votre nouvel assureur le coefficient du bonus-malus. [Prénom - NOM] [Votre adresse ] Numéro du contrat d'assurance concerné Numéro d’immatriculation du véhicule Objet Demande de relevé d'information Lettre Recommandée avec Accusé de Réception Madame, Monsieur, Afin de pouvoir résilier mon contrat d'assurance je vous prie m’adresser le relevé d’information relatif au contrat d'assurance souscrit auprès de votre société dont le numéro est indiqué ci-dessus. En application de l’article 12 de l’annexe à l’article A. 121-1 du code des assurances ce relevé devra m'être transmis au plus tard dans les 15 jours suivant la réception de cette lettre. Veuillez accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. Dernière mise à jour le mercredi 29 juin 2022

\n \n\n\n article l 121 10 code des assurances
Conformémentà l’article L.112-10 alinéa 2 du Code des assurances, avant la souscription d’un Produit, l’Utilisateur peut demander au Partenaire un document l’invitant à vérifier s’il n’est pas déjà bénéficiaire d’une garantie couvrant l’un des risques couverts par le Produit et l’informant de la faculté de renonciation mentionnée au premier alinéa de cet article. Actions sur le document Article L121-10 En cas de décès de l'assuré ou d'aliénation de la chose assurée, l'assurance continue de plein droit au profit de l'héritier ou de l'acquéreur, à charge par celui-ci d'exécuter toutes les obligations dont l'assuré était tenu vis-à-vis de l'assureur en vertu du contrat. Il est loisible, toutefois, soit à l'assureur, soit à l'héritier ou à l'acquéreur de résilier le contrat. L'assureur peut résilier le contrat dans un délai de trois mois à partir du jour où l'attributaire définitif des objets assurés a demandé le transfert de la police à son nom. En cas d'aliénation de la chose assurée, celui qui aliène reste tenu vis-à-vis de l'assureur au paiement des primes échues, mais il est libéré, même comme garant des primes à échoir, à partir du moment où il a informé l'assureur de l'aliénation par lettre recommandée. Lorsqu'il y a plusieurs héritiers ou plusieurs acquéreurs, si l'assurance continue, ils sont tenus solidairement du paiement des primes. Il ne peut être prévu le paiement d'une indemnité à l'assureur dans les cas de résiliation susmentionnés. Les dispositions du présent article ne sont pas applicables au cas d'aliénation d'un véhicule terrestre à moteur. Dernière mise à jour 4/02/2012 Ceque dit la loi : article L 121-11 du Code des Assurances « [] Le contrat d’assurance est suspendu de plein droit à partir du lendemain, à zéro heure, du jour de l’aliénation ; il peut être résilié, moyennant préavis de dix jours, par chacune des parties.
Sommaire n°62 ARTICLES A. GERIN, Un an après le livre blanc, quelles perspectives pour améliorer l'accompagnement des victimes d'accidents corporels ? R. BIGOT, L’assurance fluviale ou maritime et le contenu resserré de la déclaration des risquesA propos deCass. com., 30 janv. 2019, n° 17-19420 NOTES ET OBSERVATIONS Contrat d’assurance - droit commun S. ABRAVANEL-JOLLY, Respect de la notion de fausse déclaration de risques, Cass. 2eciv., 7 mars 2019, n° 17-31082 A. CAYOL, Opposabilité d’une clause d’exclusion de garantie prévue dans les conditions générales et obligation d’information précontractuelle de l’assureur, Cass. 2eciv., 17 janv. 2019, n° 17-26750 A. CAYOL, De la responsabilité de l’assureur du fait d’un agent général, Cass. 2eciv., 7 févr. 2019, n° 17-31348 A. CAYOL, Obligation de conseil du courtier face à un professionnel averti, Cass. 2eciv., 17 janv. 2019, n° 17-13408 A. ASTEGIANO-LA RIZZA, Le transfert de propriété n’est plus une condition d’application de l’article L. 121-10 du Code des assurances, Cass. 3eciv., 7 mars 2019, n° 18-10973, PB B. NERAUDAU, La preuve du sinistre, Cass. 2eciv.,7 mars 2019, n° 17-27747 ►Autres arrêts à signaler Cass. 2eciv., 7 mars 2019, n° 18-10654 Prescription – Rappel des dispositions sur la prescription dans la police – Prescription acquise oui Cass. 2eciv., 17 janv. 2019, n° 15-18514 Contrat – C. assur., art. L. 113-8 – Fausse déclaration – Incidence sur l’opinion de l’assureur du risque à assurer oui. Assurance de responsabilité civile Ph. CASSON, Rappel de quelques règles en matière de prescription et de déchéance de garantie,Cass. 1reciv., 7 févr. 2019, n° 18-11939 Ph. CASSON, L’assurance responsabilité civile et l’exclusion de la reprise des travaux réalisés par l’assuré, Cass. 3eciv., 14 févr. 2019, n° 18-11101 Assurance des risques divers R. BIGOT, L’assurance contre la grêle et l’opposabilité de l’avenant d’assolement, Cass. 1eciv., 20 févr. 2019, n° 17-50056, PB ►Autres arrêts à signaler Cass. 2eciv., 21 févr. 2019, n° 17-24255 Effondrement d’un mur de soutènement – Dégât des eaux causés à un immeuble - Assurance du syndicat des copropriétaires Cass. 2eciv., 7 févr. 2019, n° 18-10658 Contrat d’assurance GRL –Contrat de bail d’habitation – Impayés – Paiement de l’indemnité d’assurance – Découverte par l’assureur de l’existence d’un second contrat de location portant sur le même bien – Absence de déclaration à l’assureur – C. assur., art. L. 113-8 – Fausse déclaration intentionnelle – Modification de l’objet du risque ? – Motifs retenus de ne permettant pas à la Cour de cassation d’exercer son contrôle. CE, 25 janv. 2019 Qualification clause de défense - Assurance de protection juridique Assurance de groupe / collectivePrestations sociales ►Arrêts à signaler Cass. 3eciv., 7 mars 2019, n° 18-10199 Assurance groupe emprunteur – Risque invalidité temporaire – C. assur., art. L. 113-1 - exclusion de toute maladie psychiatrique, les troubles anxieux, la dépression, qu'elle soit endogène ou réactionnelle, le stress, la fatigue, l'épuisement,.....Les complications psychiatriques des maladies somatiques, le syndrome de fatigue chronique, les troubles du comportement, la fibromyalgie, les manifestations liées ou imputables au stress ou toute autre maladie psychiatrique, leur traitement et ses complications éventuelles....Toute affection disco vertébrale concernant le rachis, leurs suites et conséquences...» - Exclusion formelle et limitée oui. Cass. 2eciv., 7 févr. 2019, n° 17-27099, PB Assurance groupe prévoyance complémentaire – L. n° 89-1009, 31 déc. 1989- Résiliation par le souscripteur – Non règlement de l’indemnité de résiliation prévue par l’article 31 de la loi issu de l'article 26 de la loi n° 2010-1330 du 9 nov. 2010 – Application aux contrats en cours d'exécution à la date d’entrée en vigueur de la disposition – Résiliation postérieure à la promulgation de la loi du 9 nov. 2010 et pendant la période transitoire de 6 ans – Indemnité due. Cass. 2e civ., 17 janv. 2019, n° 18-11800 Assurance de groupe employeur ; Action en responsabilité du salarié contre l’employeur ; Prescription quinquennale ; Point de départ ; Art. 2224 C. civ. ; Jour où le titulaire d’un droit a connu ou aurait dû connaître les faits lui permettant de l'exercer - Connaissance de la faute de l’employeur par le salarié - Connaissance acquise au jour où l’assureur a opposé la prescription biennale au salarié pour cause de non déclaration de l’accident du travail par l’employeur - Action en responsabilité non prescrite. Assurance vie L. LEFEBVRE et S. BAUHARDT, Renonciations d’opportunité à un contrat d’assurance vie enfin la fin !,Cass. 2eciv., 7 févr. 2019, n° 17-27223, PB ►Autres arrêts à signaler Cass. 2eciv., 7 mars 2019, n° 18-10604 Souscription de 7 assurances-vie en francs – Demande de transfert sur contrat multi supports en unités amendement Fourgoux » - Perte en capital – RC de l’assureur non Cass. com., 6 mars 2019, n° 17-22668 PB Nantissement de contrats d’assurance-vie pour garantir le remboursement d’un prêt – Rachat total des contrats d’assurance-vie à l’origine de l’impossibilité de procéder au remboursement total du prêt- Manquement à l’obligation d’information de la banque – Action en RC prescrite Cass. com., 13 févr. 2019, n° 17-14785, PB Nantissement de contrats d’assurance-vie pour garantir le remboursement d’un prêt – Assignation de la banque pour manquement à l’obligation de mise en garde de l’octroi du prêt – Emprunteuse profane – Non vérification par la banque de la conscience durisque d'endettement excessif auquel l'exposait cette opération- Perte de chance de ne pas contracter le prêt litigieux- Préjudice évalué à 40 % du montant total des intérêts – Cassation - Manquement prive cet emprunteur d'une chance d'éviter le risque qui s'est réalisé, la réalisation de ce risque supposant que l'emprunteur ne soit pas en mesure de faire face au paiement des sommes exigibles au titre du prêt – Risque non encore réalisé – Indemnisation d’un préjudice éventuel. Cass. com., 13 févr. 2019, n° 17-20070 Contrat d’assurance en unités de comptes – Nantissement – Manquement de l’établissement bancaire à son obligation d’information et de conseil – Communication d’un bulletin d’adhésion et d’une note d’information ne mentionnant pas de manière claire et précise que les investissements envisagés, soumis aux fluctuations boursières, comportaient un risque en capital- Manquement oui – Cassation – C. civ. art. 1147 réd. ant. à celle issue de l’ordonnance du 10 févr. 2016 – Absence d’éléments permettant d’établir l’insuffisance d’information dans la notice remise à l’assuré Cass. Crim., 30 janv. 2019, n° 18-82644, PB Contrat d'assurance-vie – Saisie – Montant des sommes figurant sur le contrat excédant celui de l’infraction – Confirmation saisie par la juridiction en se fondant, notamment, sur des interceptions de communications téléphoniques – Absence de vérification que le souscripteur ait été destinataire d'une copie des interceptions téléphoniques- Cassation. Cass. 1reciv., 30 janv. 2019 n° 18-12045 Contrat d’assurance vie – Caractère manifestement exagéré des primes – C. assur., art. L. 132-13 – Valeur rapportée pour être partagée par moitié, conformément aux dispositions testamentaires, entre l’héritier réservataire et la légataire universelle- C. civ., art. 843- Bénéficiaire n’ayant pas la qualité d’héritière ab intestat – Bénéficiaire non tenue au rapport des libéralités à la succession. Cass. com., 23 janv. 2019, n°16-22405 SCI emprunteurs – Contrats d’assurance-vie souscrits par les associés – Obligation d’information de la banque uniquement à l’égard de la SCI emprunteuse - Caractéristiques essentielles du prêt Cass. 1reciv., 16 janv. 2019, n° 17-21225, n° 17-21220, n° 17-21218, n° 17-21224, 17-21221, 17-21219, 17-21223 Plusieurs arrêts de la Première chambre civile du 16 janv. 2019 sur la prescription application à l’action en indemnisation contrat le courtier grossiste pour manquement à son obligation d’information et de conseil la prescription d'une action en responsabilité court à compter de la réalisation du dommage ou de la date à laquelle il est révélé à la victime si celle-ci établit qu'elle n'en a pas eu précédemment connaissance ; qu'ayant estimé que le préjudice résultant des gains manqués et des pertes subies correspondant aux intérêts et frais de l'emprunt payés en vain n'avait été révélé à M. et Mme X... de façon certaine qu'à la date de remboursement des prêts in fine, dont la dernière échéance était fixée au 7 novembre 2011, dans la mesure où, pendant toute la période antérieure, le contrat d'assurancesur la vie pouvait connaître une évolution favorable et, finalement, permettre le dénouement de l'opération sans perte pour les souscripteurs, la cour d'appel en a exactement déduit que l'action, soumise à la prescription quinquennale de l'article L. 110-4 du code de commerce depuis l'entrée en vigueur de la loi du 17 juin 2008, n'était pas prescrite lors de la délivrance de l'assignation ; que le moyen n'est pas fondé ; ». Assurance non vie ►Arrêts à signaler Cass. 2eciv., 7 févr. 2019, n° 17-31414 Contrat d’assurance comprenant une garantie dommage corporel s’appliquant au conducteur d’un VTM – Assureur tenu de faire l’avance à l’égard de son assuré des indemnités qui lui reviennent en ce qui concernent les postes de préjudice fixés par la juridiction – Exclusions contractuelles de certains postes – Clauses claires et précises – Application oui Assurance automobile S. ABRAVANEL-JOLLY, Qualification de la clause garantissant le décès accidentel du conducteur, Cass. 2eciv., 7 mars 2019, n° 18-13347, PB A. CAYOL, Maintien de la qualité de conducteur en présence d’un accident complexe unique,Cass. 2eciv., 17 janv. 2019, n° 18-11320 ►Autres arrêts à signaler Cass. 2eciv., 7 mars 2019, n° 18-12029 Indemnisation au titre de l’assistance d’une tierce personne Cass. 3eciv., 7 mars 2019, n° 18-10729 C. assur., art. R. 211-10 - Suspension administrative de permis Cass. 2eciv., 7 févr. 2019, n° 17-31256 Assurance véhicule terrestre à moteur – Clause valeur de remplacement du véhicule - Enrichissement de l’assuré- Demande de justification des pièces changées afin de vérifier que le montant de l’indemnité sollicitée n’était pas supérieur au prix d’achat réel du véhicule – Absence de vérification par les juges du fond de l’existence d’une telle stipulation contractuelle. Fonds de garantie C. LORTON, L’indemnisation d’une victime dans l’impossibilité de retravailler et le souci permanent de la réparation intégrale Acte 2 – Hors-scène, Cass. 2eciv., 7 mars 2019, n° 17-25855, PB ►Autres arrêts à signaler Cass. 2eciv., 7 mars 2019, n° 17-27139, PB FGTI – Déduction des sommes déjà versées – Somme versée avec une intention libérale ? Cass. 2eciv., 7 mars 2019, n° 18-14595 FGAOD – Principe de subsidiarité – paiement des dépens non. Cass. 2eciv., 31 janv. 2019, n° 17-28708 FGTI – Paiement de diverses indemnités – Action en remboursement formée par le FGTI contre le responsable – Recours subrogatoire oui – Arrêt définitif de la Cour d’assises dont il pouvait se prévaloir Cass. 2eciv., 17 janv. 2019, n° 17-24083, PBRI la prestation de compensation du handicap n’a aucun caractère obligatoire pour la victime et rien ne permettant de retenir que cette dernière a continué à la percevoir, la cour d’appel a décidé à bon droit que le montant de la prestation ne pouvait pas être déduit de l’indemnisation due au titre de l’assistance par une tierce personne ». Cass. 1reciv., 9 janv. 2019, PB Substitution de l’ONIAM aux EFS et leurs assureurs RC – Action de l’ONOAM en garantie oui – Condition préalable qu'il soit établi que le fait dommageable, constitué par la contamination, s'est produit pendant la période de validité du contrat d'assurance. Assurance construction AJACCIO, La réception des travaux était contradictoire !, Cass. 3eciv., 7 mars 2019, n° 18-12221, PB AJACCIO, La clause excluant les condamnations in solidumdans les contrats des maîtres d’œuvre, 14 févr. 2019, n° 17-26403, PB AJACCIO, L’activité garantie limitée à la mise en œuvre d’un procédé de construction, Cass. 3eciv., 30 janv. 2019, n° 17-31121, PB ►Observations V. ZALEWSKI-SICARD, Garantie de parfait achèvement et responsabilité contractuelle de droit commun, Cass. 3eciv., 7 mars 2019, n° 18-11583 V. ZALEWSKI-SICARD, Insert et responsabilité décennale, Cass. 3eciv., 7 mars 2019, n° 18-11741, PB ►Autres arrêts à signaler Cass. 3eciv., 7 mars 2019, n° 18-10052 Travaux de reprise – détermination des Responsabilités entre l’entreprise initiale et l’entreprise chargée des reprises – Entreprise initiale fautive – Entreprise chargée des reprises condamnée source de dommage immatériel. Cass. 3eciv., 7 mars 2019, n° 17-28711 Preuve extrinsèque des désordres Cass. 3eciv., 7 mars 2019, n° 18-11995 Désordres après travaux d’extension d’une maison – Maîtrise d’œuvre confiée à un architecte - Clause En cas de différend portant sur le respect des clauses du présent contrat, les parties conviennent de saisir pour avis le conseil régional de l'ordre des architectes dont relève l'architecte, avant toute procédure judiciaire, sauf conservatoire» - Clause licite oui. Cass. 2eciv., 7 mars 2019, n° 18-10577 Assurance décennale – connaissance du vice avant réception des travaux Cass. 3eciv., 30 janv. 2019, n° 17-24879 et 13-30909 Assurance responsabilité civile décennale – Attestation d’assurance ne reprenant pas une exclusion – Action oblique – Opposabilité par l’assureur des exceptions qu’il aurait pu invoquer contre le débiteur si celui-ci avait exercé directement ses droits et actions oui Cass. 3eciv., 17 janv. 2019, n° 17-26948 Assurance responsabilité civile décennale – DROC- Date de commencement effectif des travaux. CE, 1eet 4eCh. R, 19 déc. 2018, n° 408504, mentionné dans les tables du Recueil Lebon Architectes des monuments historiques – Fonctionnaires d’Etat- Agent public non Obligation pour l’Etat de souscrire une assurance les garantissant non Assureurs et distributeurs d’assurance L. LEFEBVRE et S. BAUHARDT, Assurance pour compte souscrire » n’est pas distribuer » !, Cass. 1reciv., 13 févr. 2019, n° 18-15634, PB ►Autres arrêts à signaler Cass. 1reciv., 16 janv. 2019, n° 17-21118 prêt in finecouplé à une assurance vie – Action en responsabilité du courtier – Point de départ de la prescription – Jour du remboursement final Textes Veille M. BENTIN-LIARAS, Veille législative
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Ilest possible d'annuler un achat effectué à distance par téléachat dans un délai de 7 jours à compter de la réception de l'article (Article L 121-20 du code de la consommation) . Ce
Lorsque le présentateur déclare encaisser des coupons pour le compte de tiers qu'il désigne il doit produire les justifications visées à l'article 9, pour chacun des bénéficiaires non connus du payeur. Dans cette hypothèse le payeur établit au nom de chaque bénéficiaire une pièce de paiement ainsi que le relevé prévu à l'article 14 et le certificat de crédit d'impôt ; il conserve, le cas échéant, comme pièce justificative la liste prévue au 2 de l'article 57 de l'annexe II du code général des impôts qui lui a été remise par le présentateur. Si la présentation est faite par une personne ou société soumise aux dispositions du 1 de l'article 57 susvisé et tenue par conséquent de déclarer à l'administration les coupons payés par elle ces coupons peuvent faire l'objet d'une pièce distincte de paiement établie au nom de la personne ou société requérante comme il est dit ci-dessus mais sans production de liste annexe et portant la mention " P. C. tiers " pour le compte de tiers.
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Ti14cB.
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